Buts : Talles Magno (22’), Andrey (77’) et Yago Pikachu (90+6’).
Vanderlei Luxemburgo avait promis de sortir Vasco de la zone de relégation et de ne pas laisser le club descendre en Série B.
La première partie du contrat est remplie, grâce à un match nul contre l’Atlético-GO et cette victoire contre Botafogo. Dès le début du match, les observateurs peuvent voir que Vasco a changé.
Les joueurs à la Croix maltaise multiplient les passes et retrouvent un jeu collectif. Sur une attaque venue de la droite, la défense de Botafogo résiste mais Vasco récupère le ballon sur la gauche.
Henrique centre pour la tête de Talles Magno dans le petit filet (1-0, 22’).
Le score en reste là en première mi-temps et Vasco peut regretter de ne pas avoir alourdi la note.
En deuxième mi-temps, Botafogo sort peu à peu de sa léthargie et Salomon Kalou est tout proche de marquer le but de l’égalisation à deux reprises (66’ et 67’).
À la 71ème minute, Botafogo pense revenir au score mais le but de Cícero est annulé pour une position de hors-jeu.
Abattus, les joueurs de Botafogo laisseront Vasco additionner un deuxième but (77’) avant de concéder un dernier but sur pénalty en toute fin de rencontre (90+6’).
Soulagement pour Vasco qui sort de la zone de relégation, le Z4 alors que Botafogo se prépare déjà à la Série B.
Grâce à ces deux derniers matchs, Vanderlei Luxemburgo peut entrevoir le maintien. Avec 9 matchs à disputer, Vasco a 3 points d’avance sur la zone de relégation.
Surtout, Vasco doit affronter deux équipes de la zone de relégation : Coritiba le 17 janvier et Goiás en clôture du championnat le 24 février, deux matchs à 6 points.
Vasco (4-3-3) : Fernando Miguel, Cayo Tenório (74’ Jadson), Werley, Leandro Castan, Henrique, Bruno Gomes (87’ Marcos Júnior), Léo Gil (74’ Caio Lopes), Juninho (66’ Andrey), Yago Pikachu, Cano, Talles Magno (86’ Gabriel Pec).
Botafogo (4-3-3) : Diego Cavalieri, Kevin (76’ Barrandeguy), David Sousa, Kanu, Victor Luis, José Welison, Romildo (54’ Cícero), Kelvin (66’ Lecaros), Rhuan (46’ Kalou), Warley (46’ Bruno Nazário), Pedro Raul.