Arthur Melo, né en 1996, se rapproche de la forme qui avait fait de lui une acquisition précieuse pour le FC Barcelone en 2018. Après son départ de Barcelone, il a fait face à des défis à la Juventus et à Liverpool. Cependant, trouver un nouveau chez-soi à la Fiorentina lui a apporté la tranquillité.
À 27 ans, il prétend être dans la meilleure forme de sa vie. Arthur a grandi à la fois sur le plan personnel et professionnel, reconnaissant ouvertement son besoin de soutien psychologique lors des moments difficiles. Maintenant, il est physiquement prêt pour de nouveaux défis, notamment le rêve de rejoindre l’équipe nationale brésilienne. Il parle de son parcours avec Diario AS, évoquant Ancelotti, Neymar, Endrick, Vitor Roque, Barcelone, Gremio, et exprime sa gratitude envers son entraîneur à la Fiorentina, Vincenzo Italiano.
Lorsqu’on lui a demandé pourquoi il avait choisi la Fiorentina, Arthur attribue sa décision à une conversation avec l’entraîneur. En ses propres mots :
“La vérité, c’est qu’après avoir parlé à l’entraîneur. À ce moment-là, j’ai réalisé que je devais venir ici, à la Fiorentina. La conversation que j’ai eue avec lui, ce qu’il m’a dit. J’avais déjà vu les matchs de la Fiorentina la saison dernière, comment ils jouaient… J’ai fait un bon choix.”
Arthur reconnaît la nature évolutive du football, en soulignant l’importance de combiner la puissance physique avec la créativité innée sur le terrain. Il voit la Fiorentina comme un endroit idéal pour atteindre la régularité et est impatient de s’adapter à leur style de jeu.
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Arthur Melo en tant que jeune joueur
En ce qui concerne son passé, Arthur admet un manque d’expérience dans sa jeunesse. Il explique cela plus en détail :
“Il y a beaucoup de choses que vous ne voyez pas lorsque vous êtes jeune. Vous n’avez pas autant d’expérience sur le terrain : comment conclure une action, faire des passes plus longues… cela vient en jouant des matchs. J’ai eu la chance de jouer dans de grandes équipes et d’apprendre des très bons joueurs avec lesquels j’ai joué et des entraîneurs que j’ai eus. Vous n’allez pas commencer à jouer à 20 ans et tout savoir.”
Cela signifie qu’il croit qu’il est crucial de s’adapter rapidement au football européen et encourage l’humilité à accepter les critiques constructives.
En ce qui concerne les jeunes talents comme Vitor Roque et Endrick, Arthur leur conseille de profiter de leur voyage tout en restant concentrés sur leurs objectifs. Il reconnaît le rêve partagé par de nombreux joueurs brésiliens de jouer dans les meilleures équipes d’Europe.
Arthur se souvient avec affection de son bref passage à Liverpool, louant l’unité du club et l’influence de l’entraîneur Klopp. Il n’a que des mots positifs pour les compétences d’entraînement et le caractère de Klopp.
Pression à la Fiorentina ?
Malgré deux finales, Arthur estime qu’il n’y a pas de pression, mais un désir de réaliser davantage à la Fiorentina. Il note la croissance de l’équipe, la base de fans passionnée et leur ambition de remporter des titres et de rivaliser en Ligue des champions. Il exprime ensuite son admiration pour les contributions de l’Argentin Lucas Beltrán à la Fiorentina, mettant en avant sa qualité et sa polyvalence.
L’objectif ultime d’Arthur est de retourner dans l’équipe nationale brésilienne. Il comprend que sa performance à la Fiorentina sera cruciale pour réaliser ce rêve, en particulier avec la Copa América 2024 à l’horizon.
