La campagne de Palmeiras en CONMEBOL Libertadores s’est terminée par un match nul 2-2 contre Botafogo, les éliminant du tournoi en huitièmes de finale. La présidente Leila Pereira a été la seule voix du club à s’adresser à la presse, discutant ouvertement des frustrations liées au VAR et des marges étroites qui ont conduit à leur défaite.
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Pereira a souligné un moment dans le temps additionnel – un but de Gustavo Gómez refusé pour une main – comme emblématique des récentes infortunes de l’équipe. « Quand Palmeiras gagne, c’est l’entraîneur et l’équipe qui parlent. Quand nous perdons, je crois que c’est à moi d’expliquer », a-t-elle déclaré.
On ne peut plus célébrer les buts
Elle n’a pas caché sa déception face au VAR, notant que même la célébration des buts est devenue une affaire stressante, car les décisions sont souvent annulées après révision.
Botafogo a pris une avance rapide avec des buts d’Igor Jesus et de Savarino, mais Palmeiras a riposté tard dans le match avec des réalisations de Flaco López et Rony pour égaliser le score.
Juste au moment où Palmeiras s’apprêtait à réaliser une remontée spectaculaire, l’incident de la main est survenu, stoppant leur élan et scellant leur élimination du tournoi.
Avec la fin de leurs campagnes en Libertadores et en Copa do Brasil, Palmeiras se concentre désormais entièrement sur le Brasileirão. Ils affronteront Cuiabá ce samedi au stade Brinco de Ouro à Campinas, dans le but de sauver leur saison en sécurisant un troisième titre consécutif de champion du Brésil.
Alors que la poussière retombe, la pression est forte pour bien performer dans la compétition nationale, où il n’y a plus de place pour l’erreur ni, en effet, pour une autre malchance.
Article originalement écrit par Desmond Efe-Khaese